Une psychothérapie

ÇA SERT A QUOI ?

La psychothérapie est un lieu privilégié de transformations qui peut nous permettre de reprendre à notre compte notre récit de vie en laissant aux autres leur part dans l’histoire commune que nous avons avec eux.
Entamer cette démarche et s’y tenir le temps nécessaire est éminemment courageux, mais c’est aussi un des plus beaux cadeaux que l’on peut s’offrir à soi-même au cours de notre vie car :

C’est décider de mettre des mots sur ce qui nous arrive, c’est chercher à éclairer nos interrogations, ce qui nous mets à mal. C’est aussi apprendre à donner une place en soi à nos défaillances, à nos vulnérabilités.
C’est vivre la possibilité d’aborder des sujets qui nous embarrassent, qui nous font souffrir. C’est partager notre intimité avec un professionnel de l’écoute en qui on a confiance.
C’est avoir envie d’y voir plus clair, de relire le passé pour éclairer le présent et envisager l’avenir autrement.
C’est ne pas être seul face à ce chemin emprunté puisque notre thérapeute va en être le témoin actif en nous considérant dans notre plus profonde humanité.
C’est apprendre à accueillir ses émotions si elles s’invitent, à traverser les périodes de prises de conscience et de transformations pour s’assurer de construire solidement ensuite ce dont on a envie de voir s’éclore puis se déployer.
C’est repérer nos failles, nos points faibles, mais aussi tous nos points forts, nos atouts, ce qui est de plus vivant en nous.
C’est se donner la possibilité d’être ou de redevenir acteur/trice de notre vie en répondant à celle/celui que nous sommes profondément et se re-définir dans une autre « consistance de soi »
C’est accepter de ne pas tout comprendre, de laisser vivre en soi des zones d’ombres, une part d’énigme qui signent avant tout notre subjectivité et notre richesse.
C’est ouvrir en soi un dialogue intérieur qui se poursuivra toute notre vie, bien au-delà de la psychothérapie.

POURQUOI CONSULTER ?

Voici des exemples de situations dont sont venus parler les personnes qui m’ont fait confiance dans les moments les plus vulnérables de leur vie :

J’ai envie de mieux me connaître.
Je ne sais pas, ou plus, quelle est ma juste place dans le monde.
J’ai l’impression que ma vie n’a pas, plus de sens, je ressens un manque, un vide, une béance…
Je ressens le besoin de clarifier ma relation aux autres.
Je viens de perdre un proche et j’ai besoin d’être soutenu dans ce deuil que j’imagine infini.
J’ai besoin de me reconstruire après une séparation conjugale.
Je me sens à un moment très fragile, très délicat de ma vie et j’ai besoin d’être aidé.
J’ai envie de changer des choses dans ma vie mais je ne sais pas par où commencer.
J’ai du mal à accepter mon homosexualité.
Je suis en difficulté avec mes enfants.
Mon histoire familiale me pèse et je n’arrive pas à m’en libérer.
Je me sens déprimé, j’ai perdu toute envie, j’ai du mal à assumer le quotidien, mon avenir me paraît sombre.
Mes parents vieillissent, je me demande comment les accompagner le plus justement possible.
Je me sens harcelé(e) par un proche, dans mon travail.
Je me sens en souffrance au travail, surmené(e), usé(e), je perds le sens de ce que je fais, et je sens que j’arrive à mes limites.
Je suis confronté(e) à un accident de la vie et j’ai besoin de soutien.
J’aimerai rencontrer quelqu’un et construire un couple mais mes rencontres n’aboutissent jamais à une relation stable et constructive.
Je n’arrive pas à pardonner.
Je suis en conflit avec mon entourage et ça ne s’apaise pas.
Je me sens mal dans mon couple et je ne sais pas quoi faire.
Mes angoisses m’empêchent de vivre.
Je manque de confiance en moi, je me sens nul(e), pas à la hauteur, je ressens un sentiment d’échec, ça m’empêche d’avancer et j’ai du mal à aller vers les autres.
J’ai tout le temps des petits maux qui me gâchent la vie et je me demande si je ne somatise pas…
Des blessures très profonde de l’enfance ont ressurgies brutalement et me laissent désemparé(e).
Je me sens seul(e) face à la maladie – maintenant qu’elle semble s’éloigner, j’ai besoin de me reconstruire.
Je répète toujours les mêmes scénarios et ça me rend malheureux (se).
Je n’arrive pas à me défaire de mon addiction.
J’aimerai faire connaissance avec le meilleur de moi.
J’aimerai réaliser un projet qui me tient à cœur, mais « j’ai peur d’y aller »,
Tout ce qui se passe actuellement autour des mutations du climat et ses conséquences me rend anxieux (se), l’avenir m’angoisse. Ces préoccupations écologiques finissent par m’envahir.

Alors peut-être que le premier pas à faire, c’est d’accepter de se faire accompagner et d’en parler à quelqu’un dont le métier est d’écouter l’humain dans sa dimension la plus intime, la plus vulnérable, la plus sacrée ?

UN CADRE SECURISANT :

Tout ce que vous dites en séance est strictement confidentiel.
Je vous accueille dans le non jugement et dans un respect inconditionnel.
Je me réfère dans ma pratique au cadre éthique et déontologique du SNPPSY.
Insérer le lien : http://www.snppsy.org/code-de-deontologie

COMMENT SE PASSE UNE SEANCE ?

En présence l’un de l’autre, en face à face, au cabinet,
En visio-conférence (WhatsApp, Skype, Zoom) s’il n’y a pas d’autres possibilités,
Par téléphone, seulement ponctuellement, et dans des situations particulières.

La première séance nous permet de faire connaissance en toute liberté de manière à ce que vous puissiez dire ce qui motive votre souhait de venir rencontrer un Psychopraticien. Je vous présente la façon dont je travail et ce que je peux vous proposez. Vous décidez ensuite, à la fin de cette première rencontre ou dans un second temps si vous souhaitez que l’on se revoit. Nous décidons alors d’engager ensemble un travail psychothérapeutique.

Je vous accueille avec bienveillance à chaque séance dans votre humeur et vos préoccupations du jour. C’est vous qui décidez ce que vous souhaitez aborder, ce que vous avez envie de mettre au travail. Je suis là pour vous écouter, pour vous questionner afin de vous aider si besoin à percevoir plus finement le contenu de votre parole, de vos actes, vous faire des retours sur ce que j’entends de ma place. Un dialogue peut donc s’engager dans un second temps pour vous aider à tirer un fil de réflexions, à tisser des liens pour « faire sens », à décaler votre regard sur vous-mêmes, à peut-être vous entendre parler et penser autrement.

Je ne suis pas là, ni pour forcer votre parole mais pour l’encourager dans sa plus libre expression, ni pour vous pousser à dire ce que vous souhaitez garder pour vous. Je ne peux que m’adapter à votre rythme et à ce que vous voulez bien mettre en partage dans la séance.

QUELLE DUREE DE SEANCE ? QUEL RYTHME ? PENDANT COMBIEN DE TEMPS ?

La première séance peut durer jusqu’à une heure. Les suivantes sont de 45 mn.
Je vous conseille de privilégier une séance par semaine ce qui vous permet de venir dérouler votre parole régulièrement en gardant du lien dans ce que vous abordez. Ce ne sont pas les perles qui font le collier, c’est le fil.
Mais une autre fréquence, plus ou moins soutenue, peut se définir ensemble en fonction de votre demande, de l’évolution de votre travail ou de votre situation. Cela fait toujours l’objet d’une discussion.
En fonction de ce que vous souhaitez aborder, de vos besoins, cela peut aller de quelques séances sur quelques semaines, à plusieurs mois ou plusieurs années. Vous êtes libre de mettre un terme à tout moment à votre psychothérapie ; mais ce qui est essentiel, c’est que cela puisse être parlé entre nous et que je puisse vous donner mon avis sur votre souhait d’arrêter. Ensuite, bien sûr, le choix vous appartient.

QUEL EST LE COUT D’UNE SEANCE ?

Il est de 45 euros, dès la première séance, réglables en espèce ou par chèque.

PUIS-JE ETRE REMBOURSE PAR LA SECURITE SOCIALE OU PAR MA MUTUELLE ?

Non, seules les consultations chez un médecin psychiatre peuvent être remboursées par le système de soins.
Actuellement, un grand nombre de mutuelles prennent en charge 3 à 6 séances de psychothérapie par an selon des tarifs de remboursement qui leurs sont propres. Je peux vous fournir des justificatifs de consultations si nécessaire.